La photojournaliste française Axelle de Russé, née en 1978 et reconnue pour son travail percutant sur les grands maux de nos sociétés, est spécialisée dans les reportages au long cours et a notamment travaillé sur le retour des concubines en Chine (Prix Canon de la femme photojournaliste en 2007) ou sur les conséquences du réchauffement climatique au Svalbard, terre habitée de l’Arctique.
Cette fois, Axelle s’est rendue, à la demande de la Fondation, dans la région de Kpalimé au Togo pour montrer le quotidien d’un monde paysan qui refuse de voir mourir ses terres en plantant dans les champs des arbres fertilitaires, fixateurs d’azote.
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